»
Clifton A. Emahiser
Les Ashkénazes
«
En l’an 740, les Khazars furent officiellement convertis au Judaïsme.Un siècle plus tard, ils furent écrasés par un peuple parlant un langage slave et ils furent dispersés à travers l’Europe Centrale, où ils furent connus sous le nom de Juifs. C’est de ce groupe que descendent la plupart des Juifs allemands et polonais, et ils constituent de même une partie considérable de cette population que l’on trouve aujourd’hui en Amérique. Le terme Ashkénaze est appliqué à cette division à tête ronde et de complexion sombre
» (
The American People’s Encyclopedia
,1954, p. 15–492).«
Dans les années 1960, le nombre de Séfarades était estimé à 500.000.Les Ashkénazes, à la même période, étaient estimés à un nombre de 11 millions. Il s’ensuit que dans le langage courant, “Juif” est pratique-ment synonyme de “Juif Ashkénaze”
» (Arthur Kœstler,
The ThirteenthTribe
, p. 181).«
Que les Khazars sont les descendants de la juiverie de l’est européenest un fait historique. Les historiens et les manuels juifs reconnaissent ce fait, bien que les propagandistes du nationalisme juif le minimisent comme étant de la propagande pro-arabe
» (Alfred Lilienthal,
What Price Israel
, p. 222).«
CHAZARS
: Un peuple d’origine turque dont la vie et l’histoire sont entremêlées avec les tout débuts de l’histoire des Juifs en Russie
Jewish Encyclopedie édition, 1925).«
Les Khazars n’étaient pas “Sémites”. Ils étaient une nation asiatique mongoloïde. Ils sont classifiés par les anthropologues modernes comme racialement turco-finnois
» (docteur Benjamin Freedman, était un khazar qui n'a pas arrêté de dénoncer l'arnaque )
Facts are Facts
,p. 41) [Chazars et Khazars sont un seul peuple].«
KHAZARS
: Un peuple mongol qui adopta le Judaïsme et prospérades 8è au 10 e siècles sur un territoire s’étendant entre le Don et laVolga, et entre les côtes des mers Noire, Caspienne et Azov. L’histoire de l’existence de ces convertis au Judaïsme atteignit l’homme d’état Hasdai ibn Shaprut de Cordoue au 10 e siècle. Il en résulta que Shaprut rédigea une lettre qui fut finalement reçue par Joseph, roi des Khazars . . . Dans sa réponse, le roi Joseph donnait un récit détaillé de l’histoire du royaume des Khazars .)
The New Jewish Encyclopedia, 1962).
Joseph décide donc de fournir une généalogie à son peuple. Bien qu’étant un nationaliste acharné, fier de brandir le “sceptre de Juda”, il ne peut affirmer, et ne le fait pas, une descendance sémitique pour son peuple ; il retrace leur ancestralité, non pas de Sem, mais du troisièmefils de Noé, Japheth, ou plus précisément du petit-fils de Japheth, To-garma, l’ancêtre de toutes les tribus turques.